Les neurosciences mettent aujourd’hui des mots sur ce que le fondateur de la CNV, Marshall B. Rosenberg avait pressenti dans les années 80 : l’être humain est par nature empathique. Et nous savons aujourd’hui ce qui coupe l’enfant de son empathie naturelle, ce qui altère le développement de cette compétence. Ces altérations cérébrales apparaissent dans les différentes imageries (IRM, scanners…) qui ont été réalisées lors de ces recherches, pendant plusieurs années, et qui continuent encore aujourd’hui à faire l’objet d’étude. La pédiatre Catherine Guéguen, dans son livre « Pour une enfance heureuse » explique ces freins et leurs impacts sur nos cerveaux et sur nos comportements.
